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 Le Lecteur du Val

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Lapinbanzai
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MessageSujet: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 19:11

Vous aussi vous le faîtes le concours du Lecteur du Val ?
Si oui, mettez votre texte ici ! Wink
(Je rappelle que la phrase de départ est : Il n’avait qu’un seul indice, cette voiture inconnue stationnée depuis deux jours au coin de la halle.)

Mon texte c'est ça :


Vengeance de guerre



Il n’avait qu’un seul indice, cette voiture inconnue stationnée depuis deux jours au coin de la halle. Une 2CV rouge qui semblait n’appartenir à personne.

Cela faisait maintenant 5 ans qu’il préparait sa vengeance et arrivait petit à petit à récolter différentes informations qui l’aideraient à accomplir sa tâche. Mais ce jour là, il appris enfin ce dont il avait besoin.
C’était un jour où le vent sifflait à vous déchirer les tympans et la pluie ne cessait de battre aux fenêtres. Il y avait tout devant lui, tous les souvenirs de son frère, Roger Cepeur. Des photos, des lettres, des dossiers, des souvenirs, et ce maudit uniforme bleu de soldat qui lui avait coûté la vie. Il lisait et relisait toutes ces lettres, parlant de l’enfer dans les tranchées, les obus qui volaient, les mines qui explosaient, et la folie de certains qui devenaient agressifs, suicidaires, et prêts à tout pour rentrer chez eux. Lorsque soudain, quelqu’un frappa à la porte. Il se leva et alla ouvrir. Devant lui se tenait un homme, grand, assez mince, coiffé d’un béret, sur son épaule gauche pendait une vieille sacoche crasseuse qui semblait avoir déjà bien vécu car raccommodée de partout.
Qui pouvait donc être cet homme, qui venait frapper à sa porte par un tel temps? L’inconnu ne laissa pas le temps à Cepeur de s’interroger à nouveau et commença d’une voie assez aiguë :
- Bonjour, vous êtes bien Mr… Mr Georges Cepeur ?
- Oui, de quoi s’agit-il ?
- C’est à propos de votre frère…
Cepeur le fit entrer.
- Suivez-moi, nous serons plus à l’aise pour discuter dans mon bureau.
L’homme s’exécuta.
- D’abord, qui êtes-vous et que savez vous de mon frère ? l’interrogea Cepeur.
- Je me nomme Joseph Burger. J’ai connu votre frère la première année de guerre, puis nous avons été séparés pendant deux ans et avons fini par nous retrouver dans un bar, six mois avant sa mort.
Il y eut un silence puis l’homme repris :
- C’était un brave homme, quoi qu’en disent les mauvaises langues, il m’a sauvé la vie plus d’une fois, il à combattu à nos côtés pour la patrie et l’honneur de la France. Et celle-ci, pour le remercier, vous savez ce qu’elle à fait ? Hein, vous le savez ? Elle l’a fusillé, oui, vous m’entendez, elle à fusillée mon pote ! C’est ce salopard de colonel avec ses adjoints qui disaient qu’il avait fait une tentative d’évasion en emportant de la nourriture, de l’argent et des armes. Et vous voulez que je vous dise ce qu’il avait fait ? Rien ! C’était la femme du colonel qui s’intéressait à lui, alors il a inventé ça pour l’éliminer et il a acheté ses adjoints avec l’argent qu’il prétendait avoir été volé par Roger. C’était son bouc émissaire. Dès qu’il y avait un problème, c’était toujours la faute de Roger, et ceux qui protestaient, « en première ligne pour la prochaine attaque ! »
Le dénommé Joseph ouvrit sa sacoche, en sortis une vielle coupure de journal froissé et la tendit à Cepeur :

18 Mars 1916

Le Parisien


« Les tentatives de désertion dans notre armée en guerre seront durement punies par le gouvernement français. Chaque soldat cherchant à déserter s’exposera à la peine de mort. C’est ainsi que les soldats Roger Cepeur et François Dupin du bataillon 14A dirigé par le colonel André Roussel ont été fusillés le 17 mars… »

* * *

- C’est le journal paru à la Capitale. Le gouvernement l’a fait éditer dans toutes les presses de Toulouse et des autres villes de France pour donner l’exemple. Le seul problème, c’est que lorsque j’ai voulu me renseigner sur le compte de François Dupin, on m’a rétorqué que cette affaire était classée confidentielle alors que pour votre frère, on m’a simplement dit qu’il avait été exécuté à l’aube, le 17 mars car il avait fait une tentative de désertion.
Cepeur le regarda droit dans les yeux, et pleins d’espoir lui demanda :
- Alors d’après vous, François Dupin se serait fait passer pour mort mais serait toujours en vie ?
- Ceci est plus qu’une supposition, c’est une affirmation : Après avoir appris cela, j’ai recherché un membre de sa famille qui pourrait m’aider à savoir où il se trouvait et j’ai fini par retrouver sa femme. Je suis arrivé à la faire parler – ce qui n’a pas été chose facile - et elle m’a avouée qu’il était parti faire payer son crime au Colonel Roussel.
- Vous a-t-elle dit où habitait le colonel Roussel ?
- Non mais par contre, elle m’a dit que François était partit dans sa 2CV et cela fait maintenant deux jours et elle commençait à s’inquiéter qu’il ne soit pas encore revenu.
A l’entente de ces dernières paroles, Cepeur tressaillit.
- Elle vous à bien dit qu’il était partit en 2CV depuis deux jours ?
- Oui pourquoi ? Il y a un problème ?
- Euh… Non, non, il n’y a rien.
Cepeur s’était levé. Il marchait maintenant en direction de son bureau. Il ouvrit un tiroir, pris une sorte de petite bourse et la tendit à Joseph.
- Je vous remercie grandement de toutes ces informations. Veuillez donc accepter ceci.
- Non, monsieur. Je ne peux accepter. Je ne fais pas ça pour de l’argent vous savez.
- Vous m’obligeriez ? Que faites-vous dans la vie ?
- Je suis mécanicien. Répondit Joseph tout en lui donnant une carte de visite.
- Alors vous en aurez sûrement plus besoin que moi !
Cepeur lui mis la bourse dans les mains tandis qu’ils se dirigeaient vers la porte.
- Juste une chose encore Mr Burger…
- Qui a-t-il ?
- Si un jour je vous appelle pour ouvrir une voiture, accepteriez vous ?
- A votre service monsieur…
Cepeur regarda l’homme s’éloigner petit à petit et disparaître dans le brouillard. Cet homme, inconnu jusqu'à ce jour, qui lui avait - par on ne sait quel miracle – apprit la vérité qu’il recherchait depuis longtemps.
Cepeur regagnant pensivement son bureau, s’arrêta devant sa table de travail, se baissa, et, tout en ouvrant un tiroir, retira un revolver. Maintenant, il tenait sa vengeance, et il savourait le moment ou la balle sortant de son arme, viendrait se nicher dans le crâne du colonel. Une seule chose n’allait pas : Où était passé François Dupin ?
Ce jour là, Cepeur s’était levé à l’aube. Il prit un bref déjeuné et, enfilant ses vêtements rapidement, sortit dehors tout en emportant avec lui la carte de visite que Joseph Burger lui avait donné la veille. Il constata avec réjouissance que le brouillard ne s’était pas levé, puis, montant dans sa voiture, il se dirigea vers l’adresse indiquée sur la petite carte imprimée. Il était six heures lorsqu’il sonna à la porte de Mr Burger. Celui-ci apparu en tenue de travail, un pied de biche dans une main, un marteau dans l’autre.
- Ha ! Monsieur Cepeur… J’étais sûr que vous viendriez !
- Et bien vous aviez vu juste ! dit Cepeur avec un petit rire étouffé.
- C’est pour la voiture dont vous m’avez parlé hier ?
- Exactement. Vous êtes prêt ?
- Et comment !
- Allons-y alors.
Les deux personnages roulèrent un bon moment sans souffler mot. Arrivés près de la voiture, Cepeur s’arrêta et dit à l’autre :
- C’est elle !
- Vous croyez vraiment que c’est la voiture de Dupin ?
- Absolument. Quand vous m’avez dit qu’il était partit en 2CV depuis deux jours, je me suis souvenu que celle-ci était justement stationnée devant la halle quand, deux jours avant, j’étais allé chercher mon tabac dans le village voisin.
- Si vous l’dites…
Burger avait pris son pied de biche et commençait déjà à ouvrir la voiture. A peine une minute plus tard, il ouvrait le coffre et là, tel un horrible spectacle, il vit le corps de Dupin basculer pour s’étaler par terre. Abasourdi, il regarda le corps gisant à ses pieds, troué de balles.
***
- Allo !
- Le bureau des renseignements bonjour.
- Pourriez-vous m’indiquer l’adresse du colonel Roussel ? Je suis un vieil ami à lui et je suis de passage dans la région, hors, nous nous sommes perdus de vue après la guerre et j’aimerais reprendre contact.
- Attendez une minute je cherche dans les registres… Mr André Roussel, 13 rue Idrac, appartement n°17 E.
- Merci infiniment ! Au revoir !
***
- 13 rue Idrac, appartement n°17 E ! C’est l’adresse de Roussel. déclara Cepeur.
- Vous êtes vraiment sûr de vouloir le faire taire à jamais ? lui demanda Joseph.
- Rien ne me fera reculer.
- Soit. Allons-y alors !
- Un instant, quand nous serons arrivés chez le colonel, attendez-moi.
Cepeur et Burger montèrent dans la voiture et se dirigèrent vers l’adresse donnée un peu plus tôt. Arrivés au pied de l’immeuble, Cepeur constata que l’appartement du colonel se situait au 5ème étage. Une fois devant la porte, il frappa et entendit des bruits de pas se rapprocher peu à peu, puis, la porte s’ouvrit. Là, Cepeur pu enfin voir cet individu qui avait fait assassiner son frère 5 ans auparavant. Il s’agissait d’un personnage corpulent et de petite taille qui avait un regard sournois et vicieux.
- C’est à quel sujet ? demanda le colonel.
- Il s’agit d’une vielle affaire dont j’aimerais vous entretenir.
- Je vous en prie, passons dans mon bureau.
Cepeur serrait de plus en plus fort son arme et cachait mal son énervement tandis que Roussel s’approchait de la fenêtre.
- Alors, de quoi s’agit-il Mr… Mr ? demanda le colonel de sa petite voix mielleuse.
- Cepeur. lui répondit sèchement Georges.
A l’entente de ce nom, le colonel eu un petit geste de recul qu’il essaya de dissimuler se rendant compte de la conséquence de son acte.
- Il y a quelque chose qui ne va pas colonel ?
- Non, non rien.
Roussel commençait à ressentir la peur, la vraie peur : celle que l’on ressent quand quelque chose de tragique va arriver. Quelques gouttes de sueur dégoulinaient le long de son front, il était tout à coup devenu pâle quand il avait entendu ce nom, ce nom qui venait annoncer sa mort.
- Alors si tout va bien, nous allons pouvoir commencer !
Cepeur prenait plus d’assurance à chaque fois qu’il voyait le visage de son adversaire se décomposer de plus belle.
- Je vous écoute.
- Vous souviendriez-vous d’un certain, Roger Cepeur ?
- Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez !
- Au contraire colonel. Vous le savez très bien ! Serait-il nécessaire que je vous rafraîchisse la mémoire ?
- Mais laissez-moi ! Je ne comprends rien à ce que vous dites ! Arrêtez de me raconter des sornettes et sortez !
- Ne vous énervez pas comme ça colonel. Vous savez, c’est très vilain de mal recevoir quelqu’un. Cepeur parlait maintenant calmement et articulait chaque syllabe pour montrer au colonel sa détermination.
- Je vous ai dit de sortir ! hurla Roussel.
- Pas si vite mon cher. Laissez-moi au moins vous expliquer ma présence en cet endroit dépourvu de bonnes âmes !
Cepeur avait retiré le revolver de sa poche et le pointait maintenant en direction du colonel. Ce dernier fit un pas en arrière tout en balbutiant :
- Non, vous… Vous n’allez pas faire ça ! Non…vous…Vous ne pouvez p…
Et, avant même que Roussel eu terminé sa phrase, il perdit l’équilibre, et, tomba par la fenêtre.
Cepeur se hâta de sortir de l’immeuble pour rejoindre Burger.
- Que faisons-nous du corps ? Lui demanda Joseph.
- Laissons-le ici. Après tout, Roussel s’est suicidé n’est-ce pas ? Quand je l’ai menacé de mon revolver, il a pris peur et est tombé par la fenêtre.
- Triste fin ! Mais méritée. lui répondit Burger avec un petit rire.
- Je ne vous remercierai jamais assez pour ce que vous avez fait pour moi.
- Laissez donc ! En même temps que vous, j’ai vengé Roger.
Puis, les deux hommes se séparèrent pour rentrer chez eux. Ce soir là, Cepeur rangea enfin les affaires de son frère dans un tiroir et le ferma à clé tout en se disant « Je t’ai enfin vengé, mon frère. »





PS: Je sais il y a encore quelques fautes Eva !^^


Dernière édition par le Sam 20 Jan - 12:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 19:53

J'ai le droit de corriger tes fautes ?

Sinan, c'pas mal.... Wink
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 20:06

T'a du en mettre du temps pour écrire tout ça !
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 20:19

Evamirabella a écrit:
J'ai le droit de corriger tes fautes ?

Sinan, c'pas mal.... Wink


lol! Je t'avais prévenue !^^ Mais ça c'est le 1er jet donc je vais tout corriger après et modifier 2 ou 3 trucs...^^

@ Tep: Ben quand tu t'y met ça prend pas plus de 2-3 jours. (Faut quand même y avoir un peu réfléchi avant pour le fil de l'histoire)

Sinon il n'y a personne qui fait le concour ???
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 20:28

Ca, ça me plaît comme sujet !


mais en fait, c'quoi le sujet ? ^^
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 20:52

lol!

En fait, c'est un concours qui est organisé et on te donne la 1ère phrase. Tu es obligé de la mettre au début de ta nouvelle et après tu dois inventer une histoire à partir de ça. Tu peus faire sur nimporte quel sujet mais en tout cas, je te conseille -si tu le fais- de faire en sorte que l'histoire se passe à Toulouse car le jury prend presque que des textes où la nouvelle se passe à Toulouse (ils sont trop régionalistes).
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 21:25

Quoi 2 ou 3 jours !?
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 21:52

Sûr, pour toi, il te faut 2 semaines ^^
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 21:53

Non mais bon je suis pas très original :oui:
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 21:55

Je rêve ou je peux modérer ? Smile
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 21:56

Mais non tu peux pas gros béta !
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeMer 17 Jan - 21:57

Pourtant...
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeJeu 18 Jan - 0:28

Je peux corriger moi-même certains trucs ??

Ah, et puis j'ai déplacé dans les concours, j'ai jugé ça plus approprié...
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeVen 19 Jan - 21:11

ok m'damme !^^
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeVen 19 Jan - 22:21

Lapinbanzai a écrit:

Vengeance de guerre



Il n’avait qu’un seul indice, cette voiture inconnue stationnée depuis deux jours au coin de la halle. Une 2CV rouge qui semblait n’appartenir à personne.

Cela faisait maintenant 5 ans qu’il préparait sa vengeance et arrivait petit à petit à récolter différentes informations qui l’aideraient à accomplir sa tâche. Mais ce jour-là, il apprit enfin ce dont il avait besoin.
C’était un jour où le vent sifflait à vous déchirer les tympans et la pluie ne cessait de battre aux fenêtres. Il y avait tout devant lui, tous les souvenirs de son frère, Roger Cepeur. Des photos, des lettres, des dossiers, des souvenirs, et ce maudit uniforme bleu de soldat qui lui avait coûté la vie. Il lisait et relisait toutes ces lettres, parlant de l’enfer dans les tranchées, les obus qui volaient, les mines qui explosaient, et la folie de certains qui devenaient agressifs, suicidaires, et prêts à tout pour rentrer chez eux. Lorsque soudain, quelqu’un frappa à la porte. Il se leva et alla ouvrir. Devant lui se tenait un homme, grand, assez mince, coiffé d’un béret, sur son épaule gauche pendait une vieille sacoche crasseuse qui semblait avoir déjà bien vécu car raccommodée de partout.
Qui pouvait donc être cet homme, qui venait frapper à sa porte par un tel temps ? (Le point d'interrogation me fait bizarre à cet endroit.... je serais toi je changerais un peu la phrase de manière à la tourner dans le sens inverse.) L’inconnu ne laissa pas le temps à Cepeur de s’interroger à nouveau et commença d’une voie assez aiguë :
- Bonjour, vous êtes bien M… M. Georges Cepeur ? (En France, Monsieur s'abrège par M. Tu écris ça à tes jurés, ils te jettent dehors. A moins que ça se passe en Angleterre, mais précise-le alors. Et puis, évite de mettre une abréviation en plein milieu d'une phrase. Je serais toi, j'écrirais tous les "m." en toutes lettres...)
- Oui, de quoi s’agit-il ?
- C’est à propos de votre frère…
Cepeur le fit entrer.
- Suivez-moi, nous serons plus à l’aise pour discuter dans mon bureau.
L’homme s’exécuta.
- D’abord, qui êtes-vous et que savez-vous de mon frère ? l’interrogea Cepeur.
- Je me nomme Joseph Burger. J’ai connu votre frère la première année de guerre, puis nous avons été séparés pendant deux ans et avons fini par nous retrouver dans un bar, six mois avant sa mort.
Il y eut un silence puis l’homme reprit :
- C’était un brave homme, quoi qu’en disent les mauvaises langues, il m’a sauvé la vie plus d’une fois, il a combattu à nos côtés pour la patrie et l’honneur de la France. Et celle-ci, pour le remercier, vous savez ce qu’elle a fait ? (Le coup des "à" pour le verbe avoir t'as pas intérêt à me le refaire !) Hein, vous le savez ? Elle l’a fusillé, oui, vous m’entendez, elle a (Aaaargh !!) fusillé mon pote ! C’est ce salopard de colonel avec ses adjoints qui disaient qu’il avait fait une tentative d’évasion en emportant de la nourriture, de l’argent et des armes. Et vous voulez que je vous dise ce qu’il avait fait ? Rien ! C’était la femme du colonel qui s’intéressait à lui, alors il a inventé ça pour l’éliminer et il a acheté ses adjoints avec l’argent qu’il prétendait avoir été volé par Roger. (Un peu compliqué à suivre. Si tes jurés sont cons, ils auront besoin de réfléchir : à éviter.) C’était son bouc émissaire. Dès qu’il y avait un problème, c’était toujours la faute de Roger, et ceux qui protestaient, « en première ligne pour la prochaine attaque ! »
Le dénommé Joseph ouvrit sa sacoche, en sortit une vieille coupure de journal froissé (Hum, j'arrive pas à savoir si tu parles du journal qui est froissé, ou de la coupure..... du coup je sais pas si tu dois mettre "ée") et la tendit à Cepeur :

18 Mars 1916

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« Les tentatives de désertion dans notre armée en guerre seront durement punies par le gouvernement français. Chaque soldat cherchant à déserter s’exposera à la peine de mort. C’est ainsi que les soldats Roger Cepeur et François Dupin du bataillon 14A dirigé par le colonel André Roussel ont été fusillés le 17 mars… »

* * *


- C’est le journal paru à la Capitale. Le gouvernement l’a fait éditer dans toutes les presses de Toulouse et des autres villes de France pour donner l’exemple. Le seul problème, c’est que lorsque j’ai voulu me renseigner sur le compte de François Dupin, on m’a rétorqué que cette affaire était classée confidentielle alors que pour votre frère, on m’a simplement dit qu’il avait été exécuté à l’aube, le 17 mars car il avait fait une tentative de désertion.
Cepeur le regarda droit dans les yeux, et plein d’espoir lui demanda :
- Alors d’après vous, François Dupin se serait fait passer pour mort mais serait toujours en vie ?
- Ceci est plus qu’une supposition, c’est une affirmation : (Je mettrais pas de majuscule ici, mais tu fais comme tu veux.) Après avoir appris cela, j’ai recherché un membre de sa famille qui pourrait m’aider à savoir où il se trouvait et j’ai fini par retrouver sa femme. Je suis arrivé à la faire parler – ce qui n’a pas été chose facile - et elle m’a avoué qu’il était parti faire payer son crime au Colonel Roussel.
- Vous a-t-elle dit où habitait le colonel Roussel ?
- Non mais par contre, elle m’a dit que François était parti dans sa 2CV et cela fait maintenant deux jours et elle commençait à s’inquiéter qu’il ne soit pas encore revenu. ("et" "et"... un peu beaucoup, revoie un peu ta phrase)
A l’entente ("Entente" ? J'aurais dit "écoute".... Vérifie que ce mot existe dans le sens que tu crois...) de ces dernières paroles, Cepeur tressaillit.
- Elle vous a (Aaaargh !!) bien dit qu’il était parti en 2CV depuis deux jours ?
- Oui pourquoi ? Il y a un problème ?
- Euh… Non, non, il n’y a rien.
Cepeur s’était levé. Il marchait maintenant en direction de son bureau. Il ouvrit un tiroir, pris une sorte de petite bourse et la tendit à Joseph.
- Je vous remercie grandement de toutes ces informations. Veuillez donc accepter ceci.
- Non, monsieur. Je ne peux accepter. Je ne fais pas ça pour de l’argent vous savez.
- Vous m’obligeriez ? Que faites-vous dans la vie ?
- Je suis mécanicien, répondit Joseph tout en lui donnant une carte de visite. (Dans un dialogue, après une phrase affirmative, on ne met pas de point devant une proposition incise, on met une virgule.)
- Alors vous en aurez sûrement plus besoin que moi !
Cepeur lui mit la bourse dans les mains tandis qu’ils se dirigeaient vers la porte.
- Juste une chose encore Mr Burger…
- Qu'y a-t-il ? ("Qui" ?? T'as pas vraiment réfléchis là-d'sus...)
- Si un jour je vous appelle pour ouvrir une voiture, accepteriez-vous ?
- A votre service monsieur…
Cepeur regarda l’homme s’éloigner petit à petit et disparaître dans le brouillard. Cet homme, inconnu jusqu'à ce jour, qui lui avait - par on ne sait quel miracle – apprit la vérité qu’il recherchait depuis longtemps.
Cepeur regagnant pensivement son bureau, s’arrêta devant sa table de travail, se baissa, et, tout en ouvrant un tiroir, retira un revolver. Maintenant, il tenait sa vengeance, et il savourait le moment où la balle sortant de son arme, viendrait se nicher dans le crâne du colonel. Une seule chose n’allait pas : (Idem que l'autre, je mettrais pas de majuscule) Où était passé François Dupin ?
Ce jour-là, Cepeur s’était levé à l’aube. Il prit un bref déjeuner et, enfilant ses vêtements rapidement, sortit dehors tout en emportant avec lui la carte de visite que Joseph Burger lui avait donné (Impossible de voir si on peut remplacer par "prise".... Vérifie si il vaut mieux mettre "ée") la veille. Il constata avec réjouissance que le brouillard ne s’était pas levé, puis, montant dans sa voiture, il se dirigea vers l’adresse indiquée sur la petite carte imprimée. Il était six heures lorsqu’il sonna à la porte de Mr Burger. Celui-ci apparu en tenue de travail, un pied de biche dans une main, un marteau dans l’autre. (Un mécano ça bosse avec un marteau ? Sincérement, mais je suis tellement naze là-d'sus, je savais pas. Et comment a-t-il pu ouvrir la porte avec les deux mains prises ?)
- Ha ! Monsieur Cepeur… J’étais sûr que vous viendriez !
- Et bien vous aviez vu juste ! dit Cepeur avec un petit rire étouffé.
- C’est pour la voiture dont vous m’avez parlé hier ?
- Exactement. Vous êtes prêt ?
- Et comment !
- Allons-y alors.
Les deux personnages roulèrent un bon moment sans souffler mot. Arrivés près de la voiture, Cepeur s’arrêta et dit à l’autre :
- C’est elle !
- Vous croyez vraiment que c’est la voiture de Dupin ?
- Absolument. Quand vous m’avez dit qu’il était parti (Sans T !!!) en 2CV depuis deux jours, je me suis souvenu que celle-ci était justement stationnée devant la halle quand, deux jours avant, j’étais allé chercher mon tabac dans le village voisin.
- Si vous l’dites…
Burger avait pris son pied de biche et commençait déjà à ouvrir la voiture. A peine une minute plus tard, il ouvrait le coffre et là, tel un horrible spectacle, il vit le corps de Dupin basculer pour s’étaler par terre. Abasourdi, il regarda le corps gisant à ses pieds, troué de balles.
***

- Allo !
- Le bureau des renseignements bonjour.
- Pourriez-vous m’indiquer l’adresse du colonel Roussel ? Je suis un vieil ami à lui et je suis de passage dans la région, or (Déjà, "hors" n'a rien à faire là, et j'ai viré la virgule, ça fait franchement spécial) nous nous sommes perdus de vue après la guerre et j’aimerais reprendre contact.
- Attendez une minute je cherche dans les registres… M. André Roussel, 13 rue Idrac, appartement n°17 E.
- Merci infiniment ! Au revoir !
***

- 13 rue Idrac, appartement n°17 E ! C’est l’adresse de Roussel, déclara Cepeur.
- Vous êtes vraiment sûr de vouloir le faire taire à jamais ? lui demanda Joseph.
- Rien ne me fera reculer.
- Soit. Allons-y alors !
- Un instant, quand nous serons arrivés chez le colonel, attendez-moi.
Cepeur et Burger montèrent dans la voiture et se dirigèrent vers l’adresse donnée un peu plus tôt. Arrivés au pied de l’immeuble, Cepeur constata que l’appartement du colonel se situait au 5ème étage. Une fois devant la porte, il frappa et entendit des bruits de pas se rapprocher peu à peu, puis, la porte s’ouvrit. Là, Cepeur put enfin voir cet individu qui avait fait assassiner son frère cinq (En lettres pour un concours) ans auparavant. Il s’agissait d’un personnage corpulent et de petite taille qui avait un regard sournois et vicieux.
- C’est à quel sujet ? demanda le colonel.
- Il s’agit d’une vieille affaire dont j’aimerais vous entretenir.
- Je vous en prie, passons dans mon bureau.
Cepeur serrait de plus en plus fort son arme et cachait mal son énervement tandis que Roussel s’approchait de la fenêtre.
- Alors, de quoi s’agit-il M… M. ? demanda le colonel de sa petite voix mielleuse.
- Cepeur. lui répondit sèchement Georges.
A l’entente (Idem) de ce nom, le colonel eut un petit geste de recul qu’il essaya de dissimuler se rendant compte de la conséquence de son acte.
- Il y a quelque chose qui ne va pas colonel ?
- Non, non rien.
Roussel commençait à ressentir la peur, la vraie peur : celle que l’on ressent quand quelque chose de tragique va arriver. Quelques gouttes de sueur dégoulinaient le long de son front, il était tout à coup devenu pâle quand il avait entendu ce nom, ce nom qui venait annoncer sa mort. (Pourquoi ? Comment il peut le savoir ?)
- Alors si tout va bien, nous allons pouvoir commencer !
Cepeur prenait plus d’assurance à chaque fois qu’il voyait le visage de son adversaire se décomposer de plus belle.
- Je vous écoute.
- Vous souviendriez-vous d’un certain, Roger... Roger Cepeur ?
- Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez !
- Au contraire colonel. Vous le savez très bien ! Serait-il nécessaire que je vous rafraîchisse la mémoire ?
- Mais laissez-moi ! Je ne comprends rien à ce que vous dites ! Arrêtez de me raconter des sornettes et sortez !
- Ne vous énervez pas comme ça colonel. Vous savez, c’est très vilain de mal recevoir quelqu’un. (Va peut-être à la ligne pour enchaîner) Cepeur parlait maintenant calmement et articulait chaque syllabe pour montrer au colonel sa détermination.
- Je vous ai dit de sortir ! hurla Roussel.
- Pas si vite mon cher. Laissez-moi au moins vous expliquer ma présence en cet endroit dépourvu de bonnes âmes !
Cepeur avait retiré le revolver de sa poche et le pointait maintenant en direction du colonel. Ce dernier fit un pas en arrière tout en balbutiant :
- Non, vous… Vous n’allez pas faire ça ! Non…vous…Vous ne pouvez p…
Et, avant même que Roussel ait (Subjonctif) terminé sa phrase, il perdit l’équilibre, et (J'ai viré la virgule) tomba par la fenêtre.
Cepeur se hâta de sortir de l’immeuble pour rejoindre Burger.
- Que faisons-nous du corps ? Lui demanda Joseph.
- Laissons-le ici. Après tout, Roussel s’est suicidé n’est-ce pas ? Quand je l’ai menacé de mon revolver, il a pris peur et est tombé par la fenêtre.
- Triste fin ! Mais méritée, lui répondit Burger avec un petit rire.
- Je ne vous remercierai jamais assez pour ce que vous avez fait pour moi.
- Laissez donc ! En même temps que vous, j’ai vengé Roger.
Puis, les deux hommes se séparèrent pour rentrer chez eux. Ce soir là, Cepeur rangea enfin les affaires de son frère dans un tiroir et le ferma à clé tout en se disant « Je t’ai enfin vengé, mon frère. »



Bon, j'ai corrigé l'essentiel, à toi de regarder mes commentaires, et surtout relie ton texte, ch'uis pas nan plus infaillible !! Wink
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeVen 19 Jan - 22:49

lol!
Mici !

- Le point d'intero est normal car il se demande qui il est (après chacun sa version des choses...)

- ok pour le monsieur.

- Désolé pour les "à" et les "a" mais des fois j'y fait plus attention à la fin !^^

- lol !^^ J'ai pas dis qu'ils étaient cons j'ai dis qu'ils étaient régionalistes (après je les connait pas...)

- Pour le journal me suis trompé c'est "ée"

- Pour les Majs je vais refaire tout ça.

- Je vais refaire la phrase avec les "et" "et".

- Je crois que ça existe le mot entente mais bon...

- ok pour la ,

- Désolé pour le qui !^^

- Je sais pas si ça a un marteau mais c'est pas le but de l'histoire ! ^^

Mici m'damme !^^
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeSam 20 Jan - 15:12

Tu vas gagner c'est sur !
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeSam 20 Jan - 18:22

Pas forcément : Le concours est organisé dans le monde entier lol.
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeSam 20 Jan - 18:53

c'est vrai ?
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeSam 20 Jan - 19:11

bon oui parcequ'il y a une américaine qui a gagné l'an dernier donc...
Il y a une partie primaire/collège/licé et une partie adulte.
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeSam 20 Jan - 21:17

affraid quoi et que gagne tu ?
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeSam 20 Jan - 22:02

T'es publié dans un livre.
C'est trop cool comme prix ! Wink
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeSam 20 Jan - 22:04

Oué mais ça va être difficile
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MessageSujet: Re: Le Lecteur du Val   Le Lecteur du Val Icon_minitimeVen 26 Jan - 20:45

Voilà j'ai corrigé les fautes ! Je ne sais pas trop si il y en a encore quelques unes... [Si il y a pleins d'espaces entre les lignes c'est mon ordi qui bug et c'est pas fait exprès^^]





Vengeance de guerre










Il n’avait qu’un seul indice, cette voiture
inconnue stationnée depuis deux jours au coin de la halle. Une 2CV rouge qui
semblait n’appartenir à personne.





Cela
faisait maintenant cinq ans qu’il préparait sa vengeance et arrivait petit à
petit à récolter différentes informations qui l’aideraient à accomplir sa
tâche. Mais ce jour là, il apprit enfin ce dont il avait besoin.


C’était un jour où le vent sifflait à vous
déchirer les tympans et la pluie ne cessait de battre aux fenêtres. Il y avait
tout devant lui, tous les souvenirs de son frère, Roger Cepeur. Des photos, des
lettres, des dossiers, des souvenirs, et ce maudit uniforme bleu de soldat qui
lui avait coûté la vie. Il lisait et relisait toutes ces lettres, parlant de
l’enfer dans les tranchées, les obus qui volaient, les mines qui explosaient,
et la folie de certains qui devenaient agressifs, suicidaires, et prêts à tout
pour rentrer chez eux. Lorsque soudain, quelqu’un frappa à la porte. Il se leva
et alla ouvrir. Devant lui se tenait un homme, grand, assez mince, coiffé d’un
béret, sur son épaule gauche pendait
une vieille sacoche crasseuse qui semblait avoir déjà bien vécu car raccommodée
de partout.


Qui
pouvait donc être cet homme, qui venait frapper à sa porte par un tel
temps? L’inconnu ne laissa pas le temps à Cepeur de s’interroger à nouveau et
commença d’une voie assez aiguë :


- Bonjour, vous êtes bien Mr… Mr
Georges Cepeur ?



- Oui, de quoi s’agit-il ?


- C’est à propos de votre frère…


Cepeur
le fit entrer.


- Suivez-moi, nous serons plus à l’aise pour
discuter dans mon bureau.



L’homme s’exécuta.


- D’abord, qui êtes-vous
et que savez vous de mon frère ?
l’interrogea Cepeur.


- Je me nomme Joseph
Burger. J’ai connu votre frère la première année de guerre, puis nous avons été
séparés pendant deux ans et avons fini par nous retrouver dans un bar, six mois
avant sa mort.



Il y eut un silence puis l’homme reprit :


- C’était un brave homme,
quoi qu’en disent les mauvaises langues, il m’a sauvé la vie plus d’une fois,
il a combattu à nos côtés pour la patrie et l’honneur de la France. Et
celle-ci, pour le remercier, vous savez ce qu’elle a fait ? Hein, vous le
savez ? Elle l’a fusillé, oui, vous m’entendez, elle a fusillé mon
pote ! C’est ce salopard de colonel avec ses adjoints qui disaient qu’il
avait fait une tentative d’évasion en emportant de la nourriture, de l’argent
et des armes. Et vous voulez que je vous dise ce qu’il avait fait ?
Rien ! C’était la femme du colonel qui s’intéressait à lui ; alors il
a inventé ça pour l’éliminer et il a acheté ses adjoints avec l’argent qu’il
prétendait avoir été volé par Roger. C’était son bouc émissaire. Dès qu’il y
avait un problème, c’était toujours la faute de Roger, et ceux qui
protestaient, « en première ligne pour la prochaine attaque ! »



Le dénommé Joseph ouvrit sa sacoche, en sortit une vielle
coupure de journal froissé et la tendit à Cepeur :






18 Mars 1916


Le Parisien





« Les tentatives de désertion
dans notre armée en guerre seront durement punies par le gouvernement français.
Chaque soldat cherchant à déserter
s’exposera à la peine de mort. C’est ainsi que
les soldats Roger Cepeur et François Dupin du bataillon 14A dirigé par le
colonel André Roussel ont été fusillés le 17 mars… »






* * *





- C’est le journal paru à la Capitale. Le
gouvernement l’a fait éditer dans toutes les presses de Toulouse et des autres
villes de France pour donner l’exemple. Le seul problème, c’est que lorsque
j’ai voulu me renseigner sur le compte de François Dupin, on m’a rétorqué que
cette affaire était classée confidentielle alors que pour votre frère, on m’a
simplement dit qu’il avait été exécuté à l’aube, le 17 mars car il avait fait
une tentative de désertion.


Cepeur le regarda droit dans les yeux, et plein
d’espoir lui demanda :


- Alors d’après vous, François Dupin se serait fait passer pour
mort mais serait toujours en vie ?


- Ceci est
plus qu’une supposition, c’est une affirmation : Après avoir appris cela, j’ai recherché un membre de sa famille
qui pourrait m’aider à savoir où il se trouvait et j’ai fini par retrouver sa
femme. Je suis arrivé à la faire parler – ce qui n’a pas été chose facile - et
elle m’a avoué qu’il était parti faire payer son crime au Colonel Roussel.


- Vous
a-t-elle dit où habitait le colonel Roussel ?


- Non mais
par contre, elle m’a dit que François était partit dans sa 2CV et cela fait
maintenant deux jours. Elle commençait à s’inquiéter qu’il ne soit pas encore
revenu.


A l’entente de ces dernières paroles, Cepeur
tressaillit.


- Elle vous a
bien dit qu’il était partit en 2CV depuis deux jours ?


- Oui,
pourquoi ? Il y a un problème ?


- Euh… Non,
non, il n’y a rien.


Cepeur
s’était levé. Il marchait maintenant en direction de son bureau. Il ouvrit un
tiroir, prit une sorte de petite bourse et la tendit à Joseph.


- Je vous
remercie grandement de toutes ces informations. Veuillez donc accepter ceci.


- Non,
monsieur. Je ne peux accepter. Je ne fais pas ça pour de l’argent, vous savez.


- Vous
m’obligeriez ? Que faites-vous dans la vie ?


- Je suis
mécanicien ; répondit Joseph tout en lui
donnant une carte de visite.


- Alors vous
en aurez sûrement plus besoin que moi !



Cepeur lui
mit la bourse dans les mains tandis qu’ils se dirigeaient vers la porte.


- Juste une
chose encore, Mr Burger…


- Qu’y
a-t-il ?


- Si un jour
je vous appelle pour ouvrir une voiture, accepteriez vous ?


- A votre
service, monsieur…


Cepeur regarda l’homme s’éloigner petit à petit et
disparaître dans le brouillard. Cet homme, inconnu jusqu'à ce jour, qui lui
avait - par on ne sait quel miracle - appris la vérité qu’il recherchait depuis
longtemps.


Cepeur regagnant pensivement son bureau, s’arrêta
devant sa table de travail, se baissa, et, tout en ouvrant un tiroir, retira un
revolver. Maintenant, il tenait sa vengeance, et il savourait le moment ou la
balle sortant de son arme, viendrait se nicher dans le crâne du colonel. Une
seule chose n’allait pas : Où était passé François Dupin ?


Ce jour là,
Cepeur s’était levé à l’aube. Il prit un bref déjeuner et, enfilant ses
vêtements rapidement, sortit dehors tout en emportant avec lui la carte de
visite que Joseph Burger lui avait donné la veille. Il constata avec
satisfaction que le brouillard ne s’était pas levé, puis, montant dans sa
voiture, il se dirigea vers l’adresse indiquée sur la petite carte imprimée. Il
était six heures lorsqu’il sonna à la porte de Mr Burger. Celui-ci apparut en
tenue de travail, un pied de biche dans une main, un marteau dans l’autre.


- Ha !
Monsieur Cepeur… J’étais sûr que vous viendriez !


- Et bien,
vous aviez vu juste ! dit Cepeur avec un
petit rire étouffé.


- C’est pour
la voiture dont vous m’avez parlé hier ?


- Exactement.
Vous êtes prêt ?


- Et
comment !


- Allons-y
alors.


Les deux personnages roulèrent un bon moment sans
souffler mot. Arrivé près de la voiture, Cepeur s’arrêta et dit à l’autre :


- C’est
elle !


- Vous croyez
vraiment que c’est la voiture de Dupin ?


- Absolument.
Quand vous m’avez dit qu’il était partit en 2CV depuis deux jours, je me suis
souvenu que celle-ci était justement stationnée devant la halle quand, deux
jours avant, j’étais allé chercher mon tabac dans le village voisin.


- Si vous
l’dites…


Burger avait pris son pied de biche et commençait
déjà à ouvrir la voiture. A peine une minute plus tard, il ouvrait le coffre et
là, tel un horrible spectacle, il vit le corps de Dupin basculer pour s’étaler
par terre. Abasourdi, il regarda le corps gisant à ses pieds, troué de balles.


***


- Allo !


- Le bureau
des renseignements bonjour.


-
Pourriez-vous m’indiquer l’adresse du colonel Roussel ? Je suis un vieil
ami à lui et je suis de passage dans la région, or, nous nous sommes perdus de
vue après la guerre et j’aimerais reprendre contact.


- Attendez
une minute je cherche dans les registres… Mr André Roussel, 13 rue Idrac,
appartement n°17 E.


- Merci
infiniment ! Au revoir !


***


- 13 rue
Idrac, appartement n°17 E ! C’est l’adresse de Roussel ; déclara Cepeur.


- Vous êtes
vraiment sûr de vouloir le faire taire à jamais ? lui demanda Joseph.


- Rien ne me
fera reculer.


- Soit.
Allons-y alors !


- Un instant.
Quand nous serons arrivés chez le colonel, attendez-moi.


Cepeur et Burger montèrent dans la voiture et se
dirigèrent vers l’adresse donnée un peu plus tôt. Arrivés au pied de
l’immeuble, Cepeur constata que l’appartement du colonel se situait au 5ème
étage. Une fois devant la porte, il frappa et entendit des bruits de pas se
rapprocher peu à peu, puis, la porte s’ouvrit. Là, Cepeur put enfin voir cet
individu qui avait fait assassiner son frère cinq ans auparavant. Il s’agissait
d’un personnage corpulent et de petite taille qui avait un regard sournois et
vicieux.


- C’est à
quel sujet ? demanda le colonel.


- Il s’agit
d’une vielle affaire dont j’aimerais vous entretenir.


- Je vous en
prie, passons dans mon bureau.


Cepeur serrait de plus en plus fort son arme et
cachait mal son énervement tandis que Roussel s’approchait de la fenêtre.


- Alors, de
quoi s’agit-il Mr… Mr ? demanda le colonel
de sa petite voix mielleuse.


- Cepeur. lui répondit sèchement Georges.


A l’entente de ce nom, le colonel eut un petit geste
de recul qu’il essaya de dissimuler, se rendant compte de la conséquence de son
acte.


- Il y a
quelque chose qui ne va pas, Colonel ?


- Non, non,
rien.


Roussel commençait à ressentir la peur, la vraie
peur : celle que l’on ressent quand quelque chose de tragique va arriver.
Quelques gouttes de sueur dégoulinaient le long de son front, il était tout à
coup devenu pâle quand il avait entendu ce nom, ce nom qui venait annoncer sa
mort.


- Alors si
tout va bien, nous allons pouvoir commencer !


Cepeur
prenait plus d’assurance à chaque fois qu’il voyait le visage de son adversaire
se décomposer de plus belle.


- Je vous écoute.


- Vous
souviendriez-vous d’un certain… Roger Cepeur ?


- Je ne vois
pas du tout de quoi vous parlez !


- Au
contraire, Colonel. Vous le savez très bien ! Serait-il nécessaire que je
vous rafraîchisse la mémoire ?


- Mais
laissez-moi ! Je ne comprends rien à ce que vous dites ! Arrêtez de
me raconter des sornettes et sortez !


- Ne vous
énervez pas comme ça, Colonel. Vous savez, c’est très vilain de mal recevoir quelqu’un.


Cepeur
parlait maintenant calmement et articulait chaque syllabe pour montrer au
colonel sa détermination.


- Je vous ai
dit de sortir ! hurla Roussel.


- Pas si vite
mon cher. Laissez-moi au moins vous expliquer ma présence en cet endroit
dépourvu de bonnes âmes !


Cepeur avait retiré le revolver de sa poche et le
pointait maintenant en direction du colonel. Ce dernier fit un pas en arrière
tout en balbutiant :


- Non, vous…
Vous n’allez pas faire ça ! Non…vous…Vous ne pouvez p…


Et, avant même que Roussel eu terminé sa phrase, il
perdit l’équilibre, et, tomba par la fenêtre.


Cepeur se hâta de sortir de l’immeuble pour rejoindre
Burger.


- Que
faisons-nous du corps ? Lui demanda
Joseph.


- Laissons-le
ici. Après tout, Roussel s’est suicidé n’est-ce pas ? Quand je l’ai
menacé de mon revolver, il a pris peur et est tombé par la fenêtre.


- Triste
fin ! Mais méritée ; lui répondit
Burger avec un petit rire.


- Je ne vous
remercierai jamais assez pour ce que vous avez fait pour moi.


- Laissez
donc ! En même temps que vous, j’ai vengé Roger.


Puis, les deux hommes se séparèrent pour rentrer chez
eux. Ce soir là, Cepeur rangea enfin les affaires de son frère dans un tiroir
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frère. »
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